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Faites la rencontre de Daniel Reid, qui saisit de nouvelles occasions à Toronto-Nord

08 octobre 2021 2 Minute Read

Q&A with Dan Reid, CBRE’s New Toronto North Leader



Daniel Reid

 

À la fin de l’été, à l’heure où les entreprises se recentraient pour finir l’année 2021 en force, CBRE a enrichi de deux nouvelles têtes d’affiche son équipe de direction dans la région du Grand Toronto (RGT). Daniel Reid est le nouveau directeur général de notre bureau de Toronto-Nord et Michael Case fait équipe avec Jon Ramscar à la tête du bureau de Toronto-Centre.

Nous avons récemment recueilli les propos de Dan sur les perspectives immobilières et les leçons qu’il a apprises au fil des ans, ainsi que les conseils qu’il a à donner à la prochaine génération de professionnels des ventes.

Quelles sont vos grandes priorités dans les améliorations que vous voulez apporter, dans l’immobilier commercial, aux services que nous offrons dans le nord de Toronto?

J’entends bien rehausser le rendement et améliorer les résultats produits pour les clients tout en préservant la culture exceptionnelle qui a toujours existé dans notre bureau de Toronto-Nord. Dans nos activités, nous avons toujours misé sur la volonté et le rendement individuels. Or, si nous trouvons aussi de nouveaux moyens de collaborer, de faire fructifier le succès et les relations de chacun et d’innover ensemble, je pense que nous pouvons vraiment hausser la barre du point de vue des services et de notre part du marché.

Quel avantage avez-vous comme courtier aguerri en poste depuis une dizaine d’années au bureau de CBRE à Toronto-Nord?

Les relations sont essentielles dans toutes nos activités. Je connais tout le monde ici depuis longtemps, ce qui nous permet d’évoluer plus rapidement et ouvertement. Mes relations m’aident aussi à promouvoir les synergies dans l’intérêt des clients — en mobilisant nos talents exceptionnels pour offrir à nos clients une valeur encore meilleure. La confiance, l’expérience et la familiarité me permettent d’orienter notre croissance dans tous les sens.

Quelles sont les grandes perspectives immobilières dans le nord de Toronto?

La croissance est forte dans le nord de Toronto. Plusieurs projets prometteurs se déroulent dans la région, qui ne cesse de croître et de se redévelopper, dans Vaughan, dans le couloir de l’autoroute 404 et ailleurs. Nous avons donc l’occasion de nouer des relations nouvelles et approfondies avec les investisseurs et les propriétaires. De plus, la région de Markham et de Richmond Hill est considérée comme le deuxième grand carrefour de la haute technologie au Canada après Ottawa, et parce que la technologie et les sciences de la vie portent essentiellement l’activité récente, il faut aussi s’attendre à une certaine croissance.

Quelle leçon, dans votre carrière de courtier, auriez-vous à transmettre aux jeunes professionnels des ventes?

J’ai conclu l’une de mes toutes premières transactions avec un groupe d’ingénieurs qui venait tout juste de quitter une grande entreprise nationale pour lancer son propre cabinet de génie-conseil. Je lui ai déniché 1 300 pieds carrés dans un immeuble de bureaux de la catégorie C, j’ai suivi son évolution pendant toute ma carrière, et ce cabinet a fini par occuper plus de 50 000 pieds carrés dans différentes villes. Je me suis rendu compte du rôle important qu’on peut jouer auprès d’un client qui connaît une telle croissance : j’ai voulu m’assurer que dans son parcours, ce client prendrait des décisions immobilières judicieuses.

Quel est le meilleur conseil qu’on vous ait donné dans l’industrie immobilière?

Il faut donner la priorité aux clients. On dirait un cliché, mais si on s’en tient vraiment à ce principe, sans jamais y déroger — même quand on est tenté de le faire financièrement —, on finit par gagner ce qu’il y a de plus précieux : la confiance. En donnant la priorité aux clients dans chacune des interactions et en adoptant toujours leur point de vue, les clients sont fidèles, ouverts et francs avec vous et il n’y a plus à s’inquiéter de la concurrence. Il n’y a rien de tel qu’une longue liste de clients fidèles, qui ne feraient jamais appel à quelqu’un d’autre.

Qu’est-ce que vos collègues pourraient être étonnés d’apprendre à votre sujet?

Je fais partie d’un groupe de musique au chalet. Nous avons tous des origines, des carrières et des contextes différents. Or, nous sommes tous de fervents amateurs de musique et nous profitons de chaque occasion de nous réunir et d’improviser. Nous jouons essentiellement des succès rock des années 1960 et 1970, comme ceux de Wilson Pickett, Bob Seger, Steve Miller Band et les Eagles. Mais parfois, nous faisons un peu de grunge et jouons des morceaux de Tragically Hip. Je ne sais pas si nous sommes bons. En tout cas, nous nous amusons comme des fous.

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